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On y sera

    Ultra Trail de

Côte d'Or

UTCO

01/06/13

105km - 3600mD+

> Xav, Francky, Raph

 

çà c'est fait !

        Half Iron Man de Barcelone

> GREG : 6h23

 

Le forum-ficelle

8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 23:47

C'est beau,

c'est chaud,

c'est le récit

du Trail du Sancy !  http://www.xttr63.com/

2 mois et quelques couchés de soleil après les 86km du Mont-Blanc, me voilà reparti pour le Grand Trail du Sancy, accompagné de 2 de mes fidèles compagnons de club : Denis & Kian.

Le menu : 60km. 3350mD+.

Une broutille.

J-1 (samedi)

On arrive vers 15h, et direct on va se garer au pied du plus haut au sommet du Massif Central, le Puy de Sancy. 1885m. Bon, c'est pas les Alpes, mais çà vaut le trajet.

On décide de marcher un peu histoire de se dégourdir les jambes après 5h de route.

Le temps est estival, et comme on se refait pas, au lieu de regarder tranquillement d'en bas, on monte.

7Km, 500mD+ : Bon, 12 heures avant le départ, ce n'est pas très conseillé, mais bon on est comme çà !

On récupère notre chambre au gite : accueille très sympa.

On récupère les dossards : la tendance s'accentue.

2 bières, 1 repas et 1 bouteille de rouge + tard, la gentillesse des autochtones est confirmée, on peut aller se coucher.

JOUR J.

4h30 levé. 6H00 sur la ligne de départ.

Les objectifs : 7h pour Denis (top 20 si possible). 8h pour Kian. 9h pour moi.

C'est parti.


Çà part très très vite pour un Trail de cette longueur, je suis très surpris. Ils sont fous ou quoi ??? Je rattrape Kian qui souffle fort et partage mon avis. Du coup, à mon très grand étonnement, je fais les 20 premiers km avec Kian, parfois devant, parfois derrière, en suivant le rythme des concurrents qui nous entourent. Des côtes, parfois on marche, mais rien de terrible.

Km20 : On tourne à 10km/h de moyenne, on a fait 1/3 de la distance, c'est incroyable sur une course avec +de 3000m de D+.

On attaque alors la première véritable ascension : Puy Gros (1485m)

600m de d+ en 3km, çà calme un Xav.

Dans la descente, je me retrouve seul, cette première montée a sérieusement étiré le peloton.

En bas, j'ai déjà du mal à courir, même sur les faux-plats. j'arrive au ravito sans voir Kian qui doit être quelques minutes derrière moi...incroyable.


Au km30, on attaque la monté vers le Puy de l'Angle (1738m)

Les concurrent du 34km nous rejoignent car ils partagent notre fin de parcours, c'est pénible, on perd nos repaires. Il n'ont fait que 4km, alors forcément, ce n'est pas le même rythme.

Et quelques minutes plus tard, c'est THE défaillance. Je n'en peux plus ! Le soleil tape fort, je n'ai pas d'énergie, j'ai envie de vomir. Il reste au minimum 5h de courses, mais çà je l'évacue rapidement de ma tête. Bref, obligé de me mettre sur le côté. Quelques concurrents s'inquiètent de mon état et me demande s'ils doivent avertir les secours...çà va pas la tête ?!

Kian me rejoint, on échange un peu : il est cuit également, nous sommes vraiment partis trop vite.

Je tente de repartir avec lui, mais petit à petit il creuse l'écart.

Lorsque je crois être arrivé au sommet, çà monte encore, je sens les pulsations qui s'emballent, la tête qui résonne...pas glop.

Dans la descente, des crampes dans les mollets, mal au genou gauche et aux 2 tibias, et surtout je n'arrive pas à réccupérer.

Ravito en bas, au km 36. Lorsque j'arrive, Kian repart, je ne suis pas si loin de lui, mais par contre je suis cuit.

Je repars vers l'ascension suivante qui devrait être une formalité, mais quand on est cuit, on est cuit, y'a rien a faire !

Je continue donc mon chemin de croix, je fais régulièrement des pauses de 2min pour éviter de franchir la ligne rouge. Çà permet de profiter du paysage, franchement c'est très très beau.

Je ne sors plus ni mon petit roadbook, ni ma montre (je n'en met pas au poignet en trail), je ne sait pas quelle heure il est, peut importe, il faut juste continuer d'avancer.

Vient enfin la descente vers la Vallée de Chaudefour (km45). Elle est un peu technique, dans les bois, mais moins raide, ce qui me permet de suivre le rythme des compagnons de fortune qui m'entourent.

Puis la dernière longue montée (5km) vers le Puy de Sancy.


Çà commence dans les bois, c'est long mais pas trop raide, j'arrive à suivre.

Puis on débouche sur la partie dénudée de la montagne, dans la caillasse et sous le soleil de plomb.

Là tout les voyants se remettent dans le rouge : pulsations au max, bourdon dans la tête, crampes dans les cuisses. Le seul truc rassurant, c'est de voir que je ne perd pas trop de terrain finalement. Çà fait le yoyo avec quelques concurrents, mêmes ceux du 34km semblent au bout du rouleau.

Km52 : j'arrive enfin au sommet du Sancy, il reste donc 8km de descente.

et dire que les descentes sont mon point fort en tant normal... mais là...

Les 3 premiers km sont dans la caillasse, j'ai très très mal aux tibias et je descend tout de même pas trop mal : mais là encore çà me demande de l'énergie.

Sur un replat de 200m, tout se remet dans le rouge, je vacille, c'est limite...obligé de me mettre un Nième fois sur le côté alors qu'il reste 5km de descente.

 

Des spectateurs me demandent ce qu'ils peuvent faire mais y a rien a faire... Les concurrents qui défilent m'encouragent à les suivre, mais je dois attendre un peu que çà passe.

5-10min + tard je repars, tantôt marchant, tantôt trottant.

Un panneau « 4 km » nous encourage pour finir, mais je me dis « Encore tout çà ?! ».

Puis 3km.

Puis 2km.

Puis 1km...là je met un point d'honneur à ne pas marcher ces derniers 1000m. Du coup je remonte quelques places et termine avec des larmes de souffrance dans les yeux.

Je m'assois rapidement dans un coin. 5min pour récupérer avant de regarder ma montre: 9h32. Je pense être dans la deuxième moitié du classement mais je suis 139ème/385 partants. Pas trop trop mal vue l'état dans lequel j'ai (sur)vécu ces dernières heures.


Je rejoins Kian : il a bien morflé également, il fini 106ème en 9h07.

Même punition pour Denis, qui fini 40ème en 8h05.

Après nos belles performances au Mont-Blanc, çà ramène sur terre.

On n'était pas préparé pour un Trail aussi dur, et on l'a payé cash. Cette course mérite une préparation digne d'un Ultra.

Histoire d'être sûr, on a repris une mousse pour savourer encore un peu la bonne ambiance de ce Trail, très convivial et très bien rôdé. L'année prochaine s'y dérouleront les championnat de France de Trail... mais une fois, moi çà me suffit;)

J+1 :

Les conséquences de cette aventure (pour les aficionados) :

  • Périostite tibiale gauche

  • Périostite tibiale droite

  • inflammation tendon d'Achille gauche

  • inflammation TFL gauche

C'est surtout les périostite tibiales qui m'embêtent, j'avais traîné çà longtemps après chaque Saintélyon, mais çà se passe.

 

Au fait, vous connaissez pas ma prochaine aventure cet automne : un marathon à l'intérieure de la prison, et c'est pas une blague : j'accompagne 2 de « mes gars » pendant 42,195 km sur une boucle de 600m dans la cour de promenade. Au moins c'est plat...et comme dirait Francky... DÉLIRE !

 

XAV, traileur calmé pour quelques jours.

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 18:41

Il est de temps de refermer la page IM francfort avec le traditionnel CR.

La prépa : plutôt pas mal déroulée vu mon emploi du temps, mes déplacements. 2 jolis chronos améliorés sur le Half de Barcelone (-28’) et le M de Bourg en Bresse (-10’) me confortent sur cette bonne sensation.

La prépa se finira malheureusement un peu plus dans la difficulté : virus m’empêchant de participer au LD de Cublize (qui devait être une répétition générale) et surtout une chute en courant à J-12 qui sera à l’origine d’une intense douleur à la main, douleur toujours présente aujourd’hui.

Du coups je suis pas très optimiste le vendredi quand nous nous mettons en route vers Francfort.

8h de trajet, découverte de notre chambre d’hôte et on file assister à la défaite de le France dans un bar.

Le lendemain j’ai très mal à la main, qui est traversée de douleurs électriques. Je ne suis pas confiant et surtout déçu et déprimé. On va retirer les dossards et visiter le village Ironman. Impressionnant ce nombre d’athlètes et de nationalités représentées.

L’après-midi j’irai déposer le vélo en famille. On croise Sebastian Kienle, futur vainqueur, qui sort d’un échauffement NAT. Je n’étais alors tellement peu sûr de prendre le départ que j’ai fait un acte manqué en oubliant de récupérer ma puce au parc. Je suis rattrapé par une bénévole qui me dit que j’ai dû oublier quelque chose.

Un diner au resto italien et une petite nuit plus tard, je me lève à 4h30. Une nouvelle décharge dans la main me mine mais je prépare mes affaires et me rends à la navette où je croiserais Faris Al Sultan.

Arrivé sur le site, je vérifie le bike et vais gouter l’eau. Une dizaine de mètre nagés me confirment que ça va être chaud patate de nager vue la douleur à la main.

J’ai du coups encore beaucoup de mal à savourer l’ambiance : je suis entourés de japonais, américains, espagnols, allemands, italiens, finlandais, …. Mes notions d’allemand me permettent de comprendre que quelqu’un est en train de faire une prière au micro. L’hymne allemand résonne, un hélicoptère filme tout ça et c’est parti !

NAT:

On est quelques 1400 à s’élancer sur cette seconde vague. On est placé en arc de cercle et sur la ligne de départ. 7h00, c’est parti. Je me mets en action tout de suite avec des douleurs dans la main. Dès que j’ai la tête sous l’eau , je fais le sonar pour éviter les chocs … qui arriveront pourtant ….à 6 reprises. Et avec à chaque fois une douleur intense qu’il faut apprivoiser. Je continue mon bout de chemin. Chaque passage de bouée est une angoisse car les espaces se restreignent. Je suis content, il y a toujours du monde autour de moi, je ne suis pas totalement largué. Fin de la première boucle. Mon chrono indique 46’, et en passant sur le tapis du chrono je pense à Béa et eux enfants qui craignent de me voir abandonner pendant la partie natatoire. Le second tour se fait comme le premier, prudemment en évitant les contact ce qui me vaut quelques détours. Malgré tout j’ai (parfois) de bonnes sensations.

Je sors enfin de l’eau : 1h25. Je n’y crois pas. 5’ de mieux qu’à Vichy malgré une nage à un bras.

T1:

Je récupère mon sac et file sous la tente. J’ai du mal à retirer la combi (devinez pourquoi). J’enfile les shoes sans chaussettes et cours récupérer mon fidèle Cervélo P2C.

BIKE:

Les 20 premiers km se font sur autoroute. Ça file et ça grise. Je prends vite un dolipran pour calmer la main et c’est parti. Je rejoins Francfort à 35 de moyenne ! et double beaucoup de concurrents.

La traversée de francfort est à la fois grisant car ça va vite, et douloureuse car chaque nid de poule, aspérité ou rail de tram fait vibrer le vélo et ma fucky main.

Sortie de Francfort, ça commence à grimper. Je la fait sur le 53 dents. Et poursuis ma route. Il y a du monde partout et ça fait du bruit. Arrive un village où il y a une côte … en pavée. La galère car vibration, donc douleur, et difficile de me mettre en danseuse. Bref, ce fut dur.

Le reste du parcours se passe bien. La moyenne tombe à 32 km/h. On voit la Skyline de Francfort au loin.

Sur le retour de cette première boucle le vent se lève et on l’a de plein face. Arrive Heartbreak Hill, cette fameuse montée avec un monde ouf. J’en ai la chair de poule. Ça pousse, ça fait du bruit, c’est bon.

Passée Hearthbreak, on redescend sur Franckfort pour une traversée en mode « à donf ».

C’est parti pour le second tour. Avec le même enchainement et la galère sur les pavés. Sur le retour le vent s’est bel et bien levé et la moyenne chute. A HearthBreak Hill, je retrouve cette fois Béa et les enfants qui hurlent des « Allez Greg, Allez Papa ». Ça fait du bien !

J’arrive enfin à Francfort avec un temps de 6h00 pour 180,1 km. Loin de ce que j’ai pu espérer au début …

T2 et RUN:

T2 rapide et je file pour faire les 4 tours de 10,5 km. Mon but est de partir lentement (10,5 – 11 km/h) et de tenir ainsi les 4 tours. Les 2 premiers tours passent bien. J’ai enfin retrouvé mes supporters. Mon Cyprien me dit « tu fais les 2 autres tours à ce rythme et tu finiras en 11h25 ». Ouais, sauf que je n’y crois pas trop. J’appréhende le troisième tour où j’ai craqué à Vichy. Il passe pourtant pas mal.

Je suis écrasé par la chaleur et je sens que ma peau crame. Arrive le 4èmetour. J’ai de plus en plus de mal. Pas tant physiquement que mentalement. Je commence à en avoir assez de ces longues lignes droites interminables. Je marche … un peu … finalement beaucoup, et me relance à coups « Allez Greg, ne gâche pas tout ».

Arrive enfin la dernière ligne, le virage à droite pour rejoindre la finish line où il y a beaucoup de monde. Béa et les enfants sont là, mais moi je ne suis plus très lucide. Je passe la ligne soulagé.

Je reste sur la ligne d’arrivée, communiquant avec Béa qui me dit de revenir en arrière pour une photo, mais moi je ne comprends plus rien.

Je récupère ma médaille et vais me ravitailler. Mais rien ne passe. Je ressors rejoindre les miens. Les enfants sont fiers de leur papa qui a fini malgré tout. Béa me dit que c’est déjà génial d’avoir fini avec cette fichue blessure. Moi je suis néanmoins déçu car j’ai lâché mentalement.

Allez, on va discuter de tout ça autour d’une bière ! Puis récupération du matos et retour chez notre hôte Joerg qui pour fêter ça m’offrira une nouvelle binouze.

Bilan :

SWIM: 1h25

BIKE: 5h59

RUN: 4h19

T1 + T2: 10’

Soit 11h53’56” et un classement équivalent à la 60ème place sur 100.

Mieux qu’à Vichy pour un parcours vélo plus dur (1165 m de D+ mesuré à Francfort contre 500 à Vichy.

Outre les conditions de départ, ma déception vient de mon 4èmetour à pieds où je n’ai pas été à la hauteur.

L’IM reste une superbe expérience. Exigeante mais superbe.

A J+6, physiquement RAS, beaucoup mieux qu’après Vichy. Par contre toujours des difficultés à trouver le sommeil et une perte de poids malgré ce que je peux ingurgiter.

Conclusion: vivement le prochain !!

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22 juin 2014 7 22 /06 /juin /2014 18:46

Les échéances approchent pour quelques Ficellois avec les 80 km du Mont Blanc ou l ‘IM de Francfort. Alors voyons comment les préparations se peaufinent avec ce nouveau CRASH.

 

Pour moi une petite semaine car peu de temps dispo. Dimanche Cyprien et Gabriel faisaient le Triathlon de Anse. De belles prestations et une victoire en Mini-poussin pour Gabriel. Deux premières places en 2 semaines, j’aimerai bien (re)devenir un mini-poussin ! A défaut, je suis un vrai Canari !

 

 

L: -

 

M: N1: en lac 0h41 et 1.800 m

 

M: C1: échauffement 15’ 4x15’ à 80 %, soit 20,1 km et 1h42 et un bon mal de cannes

 

J: -

 

V: V1: avec le P2C: 144,7 et 5h10 D+ 901m

 

S: N2: en lac 0h39 et 1.800 m

 

D: V2: avec le P2C : 77,6 km et 2h40 D+ 439 m

 

Bilan: SWIM 3.600 (1h20), BIKE 222,3 km (7h50), RUN 20,4 km (1h42), soit 10h52.

 

IM Francfort S-2

 

Greg

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15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 18:09

Pour une fois, on va faire un CRASH en temps et en heure.

Peut-être l’attendez-vous en vous demandant quelle course j’ai pu faire à Cublize ? Eh bien, je n’ai pas pris le départ : depuis la nuit de jeudi / vendredi j’ai mal au ventre. Visite du doc, prise de sang rassurante, mais rien à faire la douleur est toujours là. J’ai mis le réveil à 5h, mais j’ai décidé de ne pas prendre de risque. Poursuite des investigation demain avec une écho.

 L  : V1 : avec le P2C : 2h02 et 60,3 km

M : C1 : 4 km échauffement puis 4600 en 20'22 (13,55 km/h) 3450 en 14'54 (13,9 km/h), 2300 en 10'01 (13,77 km/h), soit 1h24 et 16,3 km

M : -

J : C1 : à Colmar à jeun à 6h30 : 0h44 et 8 km

V :

   . V2 : 1h40 et 44,1 km (pas de pêche, mal au ventre)

   . N1 : 0h45 et 2,2 km

S : N2 : en lac 0h43 et 1.800 m

D : V3 : avec le Scott 105,6 km, 4h24 et D+ 1.500 m

Bilan: SWIM 4.000 (1h28), BIKE 210,0  km (8h06), RUN 24,3 km (2h09), soit 11h42.

IM Francfort S-3

Greg

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 22:04

Allez hop encore un peu de retard, mais bon l’essentiel c’est d’y penser et de la faire ce CRASH, non ?

Pour moi une semaine compliquée, je vous explique : comment caser des entrainements quand on voyage (Paris et Rome), qu’on passe ses journées en réunion ? Et bien, la solution réside (peut-être) par le remplacement de la quantité par la qualité et la généralisation de la biquotidienne. Démonstration :

L  :

   . N1 : 1h10 et 3.000m avec 6x50, 2x350 NC, 2x350 Pull, 2x350 Pull plaquettes

   . V1 : HT 15'+10x2'/1' (300 W / 200 W)+5', soit 0h50

M : -

M :

   . V2 : HT 15'+3x7'/3' (270 W / 200 W)+5', soit 0h50

   . C1 : à Rome sur tapis : 20' + 3x10' 80% + 20', soit 1h10 et 13,4 km

J : -

V : -

S :

   . V3 : avec le P2C : 2h44 et 79,5 km

   . N2 : 1h03 et 2,6 km

D :

   . V4 : avec le Scott en vue du LD de Cublize : sortie côtes : 2h12 et 48,8 km, D+ 880 m

   . C2 : en enchainement avec les enfants: 0h52 et 8,5 km (jambes dures)

 

Bilan: SWIM 5.600 (2h13), BIKE 128,3  km (4h56) + 1h40 HT, RUN 21,9 km (2h02), soit 10h51.

LD Lac des Sapins S-1 / IM Frankfurt S-4

Greg

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 21:30

Semaine particulière pour les Ficellois partagés entre Course hors-norme autour du Lac d’Annecy et fiesta hors norme également sur le plateau lingon !

C’est parti pour un nouveau CRASH.

Pour moi une semaine sympa, mais où l’approche de Francfort me fait un peu douter. Je crains de ne pas en avoir fait assez. C’est assez naturel certes, mais toujours flippant !

L  :

   . N1 : 0h52 et 2.100m

   . V1 : HT vélocité récup M Bourg

M : C1 : 4 km échauffement puis 3450 en 14'43 (14,06 km/h) 2300 en 9'27 (14,6 km/h), 1150 en 4'32 (15,2 km/h), soit 1h07 et 13,6 km

M : -

J :

   . V2 : 154 km, D+ 1.300m et 5h15 (29,3 km/h)

   . C2 : enchainement très cool avec Cyprien, mais jambes très fraiches : 19’ et 3 km

V : N2 : 1h09 et 2.600 m

S : V3 : avec le P2C dans les Monts d’Or : 1h59 et 53,1 km, D+ 700 m

D : C3 : footing de récup avec Lorenzo : 0h55 et 10,1 km

Bilan: SWIM 4.700 (2h01), BIKE 206,4  km (7h14) + 0h45 HT, RUN 26,7 km (2h22), soit 12h22.

Greg

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26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 21:33

Eh oui, seulement une semaine après Barcelone on remet déjà ça. C’est grâce à mon Cyprien qui je me suis inscrit parce que je n’en n’avais pas vraiment envie.

Bref, la semaine a permis de récupérer et de caser quelques entrainements, et nous voilà au départ de mon 3ème Bourg : 2h41 en 2012, 2h44 en 2013.

Le matin Cyprien fera une très bonne course avec une satisfaisant 6ème place sur 16 en Poussin garçon. Encore un un court à pieds, mais ça reviendra.

L’après-midi c’est donc place au M et je suis motivé. J’ai pris mon P2C pour grappiller des minutes à vélo.

14h, on est parti. Nous sommes 28 Rilliettes au départ (étonnant, il ne me semblait pas en avoir vu autant !).

La NAT est d’abord une baston sur 300 m. Dur de nager, puis ça se disperse (en fait, c’est bon, tout le monde m’a doublé). Je passe les bouées au cordeau. Je suis pas mal, mais je n’avance pas. Pourtant je semble dans la course. Sur la dernière ligne droite je m’accroche à quelques pieds, qui m’emmèneront dans la mauvaise direction puisqu’on se fait rappeler à l’ordre « il faut contourner l’île » « hein, quoi, il y a une île ? ».

Bref, je sors avec un 31’29’’ à mon chrono, c’est naze, mais pour moi c’est pas mal.

T1 rapide et je file sur mon Cervélo. 53 dents, et on y va. Je double, double, surtout en montée où certaines côtes surprennent quelques concurrents.

Ca file pas mal et je veux descendre sous les 1h20 alors je ne me ménage pas. Problème, je commence à manquer d’eau (je suis parti avec le bidon à moitié rempli). Ce manque ne fut pas déterminant sur le vélo mais aura quelques conséquences à pieds.

Je relance dès que je le peux. A l’approche du parc je déchausse, prêt à sauter du vélo. Coups d’œil au compter qui annonce 1h15 et 31 km/h.

T2 très rapide (1’15, 88ème temps) et c’est parti. Les jambes vont bien et les kilomètres commencent à passer en 4’30’’. Le problème de l’eau apparait : obligé aux 4 tours de m’arrêter prendre un gobelet bu entièrement.

Sur le second tour, trop focalisé sur le ravitaillement, j’en oublie le chouchou. STOP, 10 m en arrière pour le récupérer et c’est quelques secondes de perdues bêtement.

Ca va bien, même si je suis un peu dans le dur. Je n’ai pas le sourire pour les photos ou pour remercier les supporters.

Bon, je sais désormais que je passerai sous les 2h40, mais j’en veux plus alors je ne relâche pas, ce qui me permettra de reprendre quelques Rilliettes.

Sur la fin je suis au sprint avec Cyprien qui me suis et on passe la ligne ensemble. 2h34’ au chrono …. Et à celui de Gabriel qui m’a chronométré ;-)

Je suis super content et espère un bon classement avant que Béa ne me fasse réaliser que je suis pas dans la première moitié. Désillusion, déception.

Je me rassurerais avec une place de 8ème sur les 18 Rilliettes engagées.

Si je compare 2013 et 2014, il y a quand même du mieux 

·         48’’ gagnées en NAT,

·         47’’ sur T1,

·         7’15’’’ gagnées en Bike,

·         50’’ gagnées sur la T2

·         7’’ sur la CAP

Soit 9’46’’ gagnées, mais seulement 281ème/458.

Greg

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25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 21:21

Here we go for another CRASH !

Semaine particulière, entre récup du half de Barcelone, poursuite de la prépa IM, et prépa du M de Bourg en Bresse.

Bon, du coups, j’ai géré pour faire un peu de tout. Et finir sur une performance modeste, mais en progrès au M de Bourg où je gagne 7’ sur 2013.

L  : -

M :

   . N1 : 0h58 et 2.500m

   . V1 : HT vélocité avec un 10x30’’/30’’, soit 0h45

M : V2 : avec le P2C et en appuyant sur les pédales : 1h51 et 57 km

J : C1 : 4 km échauffement puis 8x longueur de terrain de foot à bloc, récup en largeur + 6 LD technique, soit 0h41 et 7,2 km

V : -

S :

   . V3 : avec le P2C dans les Monts d’Or : 2h05 et 53,1 km

   . N2 : petite NAT en lac : 0h30 et 1.400 m

D : M Bourg en Bresse : je sors de l’eau en 31’29’’ à mon chrono, fait un vélo (P2C) à 31 km/h de moyenne (1h15 pour les 40 km. Moyenne qui chutera à 30,1 km/h avec la longue transition en courant vélo à la main), et un 10 km couru en 43’23’’ à mon chrono. Chrono final 2h34’38’’. Soit 7’ de moins que l’année dernière. Classement à chier 281/458. C’est vraiment déprimant.

Bilan: SWIM 5.900 (1h59), BIKE 150,4  km (5h11) + 0h45 HT, RUN17,2 km (1h24), soit 9h20.

Greg

 

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22 mai 2014 4 22 /05 /mai /2014 09:34

Allez, on va reprendre les bonnes habitudes et faire le récit de cette ouverture de saison sur l’IM 70.3 de Barcelone.

Départ de Montanay le vendredi soir, ce qui nous vaut une arrivée tardive à Calella.

Le matin au PDJ nous avons le plaisir de retrouver les Rilliettes avec TriCastor, Seb et CriCri. Rapidement vient l’heure de se rendre à la course des enfants IronKid où nos 4 mini-Rilliettes auront fait une belle prestation avec en point d’orgue la troisième place de Gabriel (sans la chute d’un coureur juste devant lui au départ, il aurait pu espérer mieux mais il n’a rien lâché pour revenir sur la tête). C’est son troisième podium en 3 courses Challenge ou IM !!

Retrait des dossards dans la Fabrica Llobet transformée en magasin à l’effigie de IronMan. Marketing quand tu nous tien !!.

Petit apéro en terrasse, repas à l’hôtel, puis derniers tours de roue en compagnie de CriCri et Seb sur le parcours de l’IM qui se court en Octobre.

Dépôt des bike et des sacs en fin d’après-midi avec son lot de doutes « mais qu’ai-je donc oublié ? »

La nuit fut bonne, pas de stress et le réveil à 5h15 en fut d’autant plus rude. PDJ et puis à 6h, on se rend au parc pour un dernier check et on retourne sur la plage. Les pros partent à 7h. Je partirai en vague 6 à 7h15. La mer est calme, pas de vent, l’ambiance monte.

7h15, c’est parti. FIIIIIIIIIIRE ! je me place en 4/5 ème ligne. Je nage pas mal en me concentrant sur la poussée, mon point faible. J’ai l’impression que ça va pas mal. Les jambes répondent bien, je vérifie ma poussée en contrôlant les bulles s’échappant de mes mains. Je pousse mieux à gauche qu’à droite.

Après quelques minutes, je commence à me faire reprendre par des bonnets bleus partis 3’ derrière mois. Mais j’arrive à reprendre quelques bonnets verts partis eux 3’ devant.

8ème et dernière bouée, je reprends la direction de la plage. Je sors enfin de l’eau. Coups d’œil à la montre 40’. SUPER, je suis content. Je file sous le tente. Je croise Béa et les enfants, m’arrête pour partager ma joie et de p’tits bisous.

T1 faite debout, pas de place pour s’assoir. Je mets mon maillot de vélo et file au Parc. C’est parti pour 90 km et 1.200 m de D+. Pas mal aux jambes, ça va bien, et j’envoie ce que je peux.

La route s’élève après de belles pointes de vitesse à la sortie de Calella. Je gère en ne me mettant pas trop dans le rouge pour pouvoir courir cette année !

Après 12 km, TriCastor (parti 9’ derrière moi) me reprend. Il est en forme, c’est sur, et cela se vérifiera puisqu’il gagnera son slot pour la Finale Mondiale IM 70.3 (5h04).

Je continue et double et me fait doubler, mais ça va plutôt bien.

Après 22 km, en descente, Cri-Cri, parti 3’ derrière moi me reprend. Bon ça c’est fait. Les km passent facilement, les montées aussi, tout va bien. En regardant le chrono, je me dis qu’il faut que j’accélère un peu. Sur la deuxième partie plus roulante, je pousse, je pousse. La vision d’un gars couché dans un virage, le visage en sang, tempère un peu mes ardeurs.

On arrive sur le retour à Callela, et là surprise le vent DSCF6140.JPGs’est levé et on l’a en pleine face. Cette partie plutôt roulante sera finalement plus ardue.

J’arrive à Calella, avec le parcours torturé dans la ville, déchausse et file au parc après 3h18 de bike (27,4 km/h), soit 11’ de moins qu’en 2013 et surtout avec les jambes fraiches.

Le premier km est avalé en 4’38’ puis je décide de me caler à une vitesse plus basse pour assurer toute la CAP sans avoir à marcher. Le vent est très pénalisant sur la moitié du parcours par contre, il nous donne des ailes sur l’autre moitié.

Les supporters font toujours autant de bruit et c’est un régal. Je passe au 10ème en 51’ et tout va bien.

Je poursuis ma route sans encombre et fini en 1h50, soit 5h55 au final.

Satisfait de cette course de reprise qui me vaut une belle progression de 28’ (6’ sur la NAT, 4’ sur la T1, 11’ sur le Bike, 7’ sur la CAP). Il y a encore du boulot avant de devenir un tant soit peu performant, mais bon, je fais ce que je peux.

Greg

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20 mai 2014 2 20 /05 /mai /2014 21:22

Le temps de repasser à l’heure française, voilà le CRASH.

Une fois n’est pas coutume, je voudrais mettre en valeur les triathlètes français qui ont fait le show ce week-end en Europe : Victoire de Sylvain Sudrie au 70.3 de Barcelone, de Romain Guillaume à l’IM de Lanzarote, de sa compagne Jeanne Collonge sur le 70.3 d’Aix en Provence et de Bertand Billard sur cette même course. CHAPEAU !!!

Sans oublier la troisième place de Gabriel à l’IronKid de Barcelona, son troisième podium après Vichy et Barcelona en 2013.

Bon, de mon côté, c’est beaucoup plus modeste : une semaine où il fut difficile de s’entrainer, mais où je participais à mon premier tri. Premier tri finalement satisfaisant avec 28’ de gagnées par rapport à 2013. Récit à venir.

L  : -

M : -

M : C1 : l’habituel footing vallonné en 0h49 et 9.2 km

J :

   . N1 : très cool 0h57 et 2.300 m

   . V1 : HT 0h45 en souplesse

V : -

S : V2 : petit repérage de 23 km et 0h53

D : IM 70.3 Barcelona :

   . SWIM 40’56”

   . T1 4’56”

   . BIKE 3h18

   . T2 1’16”

   . RUN 1h50

Total; 5h50

Bilan: SWIM 4.200 (1h37), BIKE 113  km (4h12) + 0h45 HT, RUN30,3 km (2h39), soit 9h13

Greg

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